La voix est précieuse, et pour chanter merveilleusement bien comme nous, il faut la préserver, la protéger, ne surtout pas la contrarier. Les airs d’Opérette n’ont aucun secret pour nous ! Qu’on nous donne de l’Offenbach, sa Grande Duchesse de Gerolstein ou sa Périchole, qu’on nous donne du Donizetti, son Elisir D’Amore ou son Don Pasquale, qu’on nous envoie du Rossini, du Haydn ou même du Poulenc ! Nous chantons tout avec une remarquable aisance innée, et tout sonne incroyablement juste… Dans nos têtes. Vous demandez-vous comment nous faisons pour chauffer nos voix opératiques ? Avec du chocolat, tout simplement. Du chocolat sombre, abyssal, tellement noir qu’aucune lumière ne s’échappe de sa surface. Du chocolat sauvage, intense et cru comme celui que l’on trouve dans l’entremets Opérette par la pâtisserie Foucade. Goûtons-le et faisons nos vocalises. Continuer la lecture de « L’Opérette par Foucade »